Dimanche 8 mars 7 08 /03 /Mars 23:16

Ami(e)s de la poésie érotico-pornographique libre et scandaleuse : BIENVENUE.
Ce blog est un recueil grivois de poèmes, chansons ou textes délicieusements obscènes, tendrements cochons et tout simplement provoquant.
Je vous fais partager mon immense collection d'ecrits qui, à travers les siècles, n'ont cessé d'émoustiller les gentils pervers que nous sommes.
Du Comte de Durex à Simon Simone, de Lady de Vulvy à Jean Mélamôa ou de Cendrine Frotys à Brigitte Quenelle en passant par Bernard de Courte Verge, Catine ou bien Edouard de Lafante, c'est un voyage au pays du sexe en rimes, du pornographique en lettres et de l'érotismes en mots que tu trouveras sur ce délicieux et moderne blog.
De plus, afin de mieux comprendre le talent libertin de ces écrivains égrillards, une légère biographie accompagne chaque manuscrit.
Mais toi aussi lecteur si au détour d'une étagère tu retrouves un joyau de la poésie libre et audacieuse, n'hésite pas à la poster ici ! Elle ne manquera pas, j'en suis sûr, de nous faire bander de joie, rougir d'envie ou, pour certaines, mouiller de curiosité !


Bonne juteuse lecture,
Votre comteur : Alphonse Calesson

Par Alphonse Calesson
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Dimanche 8 mars 7 08 /03 /Mars 23:21

Le mail

 

J’ouvre ta boîte à mails

Pour y glisser mon courrier

Et tu verras, ma belle

Ce que je viens de t’expédier

 

Plus qu’une lettre,

Un paquet

Et je pense de tout mon être,

Que tu en seras satisfaite

 

J’ouvre ta boîte à mails

Pour y glisser mon courrier

Et tu verras, ma belle

Ce que je viens de t’expédier

 

Aujourd’hui c’est ta fête

Il faut bien t’honorer

A la vue du paquet, tu t’inquiètes,

Mais au touché, ma belette, tu en remercieras le coursier

 

J’ouvre ta boîte à mails

Pour y glisser mon courrier

Et tu verras, ma belle

Ce que je viens de t’expédier

 

« Mais quel merveilleux présent !

Bien emballé, décoré, encore dur ! »

Ta boîte mails est pleine et tu ressens

Que ce courrier, ma douce, porte ma signature

 

Etienne Léonard

1994 – Editions Léonard – Oll rite reservéd

 

Etienne Léonard est parolier. Frère cadet d’Herbert Léonard, il est né à Strasbourg en 1949, 4 ans ans apres le chanteur. Amoureux de musique il admire l’ascension de son frere dans le milieu de la chanson. Alors qu’il rêve de le rejoindre dans son groupe « Les lionceaux », il se tue les cordes vocales avec du vieux lait frelaté qui le laissera sans voix pendant de nombreuses années. Laissant son avenir de chanteur de côté, il décide d’écrire pour son frère.

Negre d’Herbert pendant près de 20 ans, on lui doit les fameux tubes  « Pour le plaisir », « Puissance et gloire », « ça me donne envie de t’aimer » ou « Dans tes draps mouillés » (1986).

Ce n’est qu’en 1988 qu’il sera enfin crédité sur l’album « Je suis un grand sentimental » avec des titres polissons comme « Entre tes mains » ou « Je suis ta peau ».

Moderne, Etienne, qui vient de fêter ses 60 printemps, délaisse la musique pour l’écriture. Son site « Fantasmes-de-parolier.fr » offre un voyage érotique offert aux artistes en recherche de texte tendrement scandaleux. Guesch Patti et Julie Pietri en ont déjà pioché quelques rîmes pour leurs futurs come back

Par Alphonse Calesson
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Lundi 9 mars 1 09 /03 /Mars 15:08

Ton minou est tellement doux

Par mon membre il va s'étendre

La dilatation de ton con

Fera frémir tes nichons

Mais ton vagin ne va plus bien

Sang et résidu n'en finissent plus

De tes pertes vaginales,

Je deviens alors anal

Jeanne Salasse

JEANNE SALASSE est une photographe connue du monde animalier, elle a débuté sa carrière d’écrivain en 1986, après l’annonce de la nouvelle mascotte de Nesquick.

Par Alphonse Calesson
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Jeudi 12 mars 4 12 /03 /Mars 10:53
Profion

C’est par un beau matin d’hiver
Que tes vilaines muqueuses tombantes
Ont décidé de me faire vivre le calvaire
Et à jamais, me dégoutter de ta fente

Cela faisait un moment que l’envie
Avait été remplacée par le dégout
Que ton corps gros et tout flétri
Sentait beaucoup trop les égouts

Là ce fut le coup de grâce
Tu as enlevé ton peignoir en satin
Pour montrer tes parties basses
Et agiter ton arrière train.

 Et là une effluve nauséabonde
A rempli notre espace
Cela provenait de ta profonde
Je suis alors parti en monospace.

Depuis j’espère vivement
Que tu as soigné ton problème
En tout cas moi je suis content
De ne plus te subir et être blême.

Jeannot La touille
1876-1934
Editions : Les Chansonnier célèbre

Après des débuts modestes à Rouen, sa ville natale, il est engagé à Paris, à La Cravache en 1895. Rapidement, c'est un triomphe.
Son toupet violet et son exhibitionnisme à outrance deviennent rapidement des signes distinctifs qui inspirera par la suite de nombreux imitateurs.
Interprète d'un bon demi-millier de chansons, il enchante la France entière : Mes boutons d’or (1899), Je t’habite (1902), La Rouflaquette coquine (1906), et bien d'autres.
Sa renommée passe si bien les frontières que Karl Chaunepaine vient l'écouter.
D'une générosité légendaire, il lance à son tour les jeunes artistes parmi lesquels Gilbert Drucker (grand-père de ), Alphonse Varte, Jean-Yves Laborde....
Par Alphonse Calesson
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Jeudi 12 mars 4 12 /03 /Mars 18:59

Souvenir d’hiver...

 

Oh temps plein d’ennui

Ce matin encore son vîl

Dressé comme une souche

N’aura meme pas une bouche

Pour vider son puissant concombre

De cette semence qui l’encombre

 

Oh hiver ennemi

De ses draps il se couvrit

Puis dans ses songes excités

Replongeat dans les pensées

D’une catin si lubrique

Qu’elles lui decuplent aisément la trique

 

« a fond de cale il la souille

a lui en ejecter sa mouille

d’une claque sur l’arriere train

lui remonta le bas des reins

Enfin dans son vallon explosé

Il apercu les relicats de son jet »

 

Oh réveil si ingrat

Vidé et collé par le froid

l’homme nu se demande

par quel miracle encore il bande

lui qui depuis celui de sa bru

n’a pas vu le moindre trou du cul

 

Hercule Fissur
1983 - Les Editions du Cherche-Minou
 

Hercule Fissur (1856 – 1914) passa la majeure partie de sa vie en tant que gardien du Zoo de Lausanne, où l’observation des bètes lui a inspiré de nombreux ouvrages reconnus dans la littérature scientifique. Appelé dans un contingent cynophile a l’aube de la grande guerre, il fut fusillé avant les premiers combats, après avoir été suspecté d’attouchement sur son binome canin.

Par Alphonse Calesson
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